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The Dead... Still Alive !!!

14 février 2012

Out here, there's nowhere to hide

A Lonely Place to Die affiche

Réalisation : Julian Gilbey
Pays : Royaume-Uni
Année : 2011
Durée : 96 minutes
Imdb : tt1422136

Un groupe de cinq randonneurs part escalader les Highlands d'Ecosse lorsqu'ils découvrent une fillette serbe enterrée vivante en pleine forêt. Alors qu'ils tentent de la sauver, les ravisseurs les prennent en chasse tels des animaux et une course poursuite sans répit commence. Le groupe traqué doit en plus éviter les pièges de la montagne, où il n'y a nulle part où se cacher. (Affiche visualisable en cliquant sur le logo).

Poursuite_Mortelle_1

C'est marrant comment on peut être attiré par un film juste pour un petit détail. Je prends le dvd entre les mains et avec une telle jaquette je me suis dis : "Tiens un nouveau film à la Vertical Limit ou Cliffhanger". Pourquoi pas après tout si c'est bien fait. Mais ce n'est pas le synopsis que vous pouvez lire juste au-dessus qui m'a attiré pour voir ce film britannique de Julian Gilbey. Ben non, c'est juste un nom : Melissa George. Une actrice que je trouve vraiment bonne (et pas dans le sens vulgaire SVP) et que j'avais apprécié dans par exemple le remake de Amityville, dans 30 Jours de Nuit ou encore dans le assez controversé Triangle de Christopher Smith.

Alison (Melissa George) revient de loinC'est vraiment pour elle que je me suis dis : "banco !". Parce que sérieusement ce n'est certainement pas le titre français qui m'a donné envie (le titre original étant A Lonely Place to Die). Franchement, donner un tel titre à un long métrage qui fait autant penser à un téléfilm digne de passer sur TF1 ou encore M6, ça craint un max. Enfin bref... Melissa George avant tout. D'ailleurs au sujet de la belle, vous souvenez-vous d'elle dans Dark City ? Ou plus récemment dans une série TV nommée The Slap ? Pourquoi je parle de ça ? Si vous avez 5 secondes, cliquez sur chacun de ces titres et vous comprendrez. J'suis trop faible...

Jenny (Kate Magowan) profite du paysageAlors maintenant, reste à savoir si cette faiblesse a été profitable... ou pas. La montagne c'est comme la mer en fait. C'est très joli mais si on s'égare en ne pensant plus trop à ce que l'on fait, le rêve peut se transformer en cauchemar en l'espace d'une seconde. Il n'y a pas que le temps qui puisse rendre une escalade dangereuse, l'inattention peut s'avérer autant fatale et c'est ce que le début du film va nous montrer. Enfin, plus précisément à Alison (Melissa George) et Ed (Ed Speleers) qui se feront une sacrée peur mais heureusement le troisième larron de l'équipe nommé Rob (Alec Newman) leur évitera le pire. Mais la réalité de la montagne est bien là et cette situation dangereuse alors que nos protagonistes sont sans stress conditionne déjà le spectateur pour la suite où ce même facteur stress se rajoutera au danger toujours présent.

Poursuite_Mortelle_4

Dans Poursuite Mortelle y a à boire et à man... boire

Après cette suée, les trois amis arrivent à un refuge et rejoignent deux connaissances, un couple composé d'Alex (Garry Sweeney) et Jenny (Kate Magowan) déjà sur place et qui ont laissés leur petite fille aux parents d'Alex afin de pouvoir profiter du grand air. Et après une soirée poker où l'on va vite se rendre compte qu'entre Ed et Alex ce ne sera jamais la grande camaraderie, nos cinq amis vont partir ensemble et découvrir ce qui va se révéler être le début de leurs ennuis : une enfant enterrée vivante avec juste une bouteille d'eau. Ils décident de se scinder en deux groupes mais malheureusement les ravisseurs n'entendent pas les laisser partir avec ce qu'ils appellent leur pognon !

La balade va se transformer en cauchemarA la base, l'histoire écrite par Julian Gilbey et son frère Will était plutôt intimiste et le seul point commun avec le produit final était... la montagne. C'est lorsque Julian Gilbey apprend que des investisseurs étaient prêts à mettre trois millions de dollars dans une histoire se passant dans la montagne qu'ils ont gardés leur idée du lieu mais y ont ajoutés tout ce que l'on connaît dans le métrage actuel. Maintenant que certains osent parler de film d'horreur ou encore d'un survival, c'est réellement faire fausse route lorsque l'on a vu le film. Pour ma part j'ai eu la chance de l'aborder pour ce qu'il est au vu de la jaquette et du synopsis : un thriller d'action.

Anna (Holly Boyd) étrangère et apeuréeDans cette catégorie, SA catégorie, Poursuite Mortelle est une pellicule vraiment sympathique. Par contre, toute personne le considérant comme un survival (ce qu'il n'est pas lorsqu'on le prend dans sa globalité) sera face à un produit insignifiant comparé aux fleurons du genre (qui a dit Délivrance ?). Pour ce qui est d'un film d'horreur, je ne relèverai même pas... Le grand attrait de Poursuite Mortelle c'est avant tout ses paysages. C'est vraiment joli et on peut même parler de vertigineux via ces décors naturels magnifiques. Bon évidemment cela a un prix niveau risques et c'est ce que l'on apprend dans l'interview de Julian Gilbey paru dans le Mad Movies de février 2012.

Poursuite_Mortelle_7

Sans corde de sécurité, la tension est maximale !

"(...) Il y a eu une fois où j'ai bien cru que toute l'équipe allait plier bagage, c'est quand un gros rocher s'est détaché et nous est tombé dessus : il n'est vraiment pas passé loin, et tout le monde était tétanisé. Je me suis dit qu'ils n'allaient pas vouloir continuer, et j'ai réalisé qu'il fallait réduire l'équipe au maximum pour éviter de me retrouver avec des morts sur la conscience et pouvoir me concentrer sans avoir à m'inquiéter pour l'équipe. Du coup, les jours qui ont suivi, je n'ai emmené que des personnes qui étaient vraiment nécessaires, d'autant qu'il y avait déjà eu des accidents mortels là où nous crapahutions (...)".

Une rencontre à la discussion bien glauqueMais le jeu en valait la chandelle ! Car le second point fort en plus des superbes paysages c'est le rythme soutenu et la tension toujours présente tout au long du déroulement de l'intrigue. Comme quoi on peut écrire une histoire tenant sur une feuille de papier toilette et réussir malgré la simplicité du matériel de base à maintenir le spectateur dans la course. J'ai pu lire ça et là des choses telles que le jeu moyen de la plupart des acteurs. Là je suis en total désaccord car pour ma part je les trouve très bons donc crédibles. Sans ça, le film ne serait pas ce qu'il est : efficace. Après, ce qui chagrine pour ainsi dire tout le monde c'est la dernière ligne droite.

Sean Harris, une sacrée gueulePour la dernière partie de son film, Julian Gilbey abandonne les montagnes écossaises et continue l'action dans un village pendant un défilé, une sorte de parade traditionnelle avec feux d'artifices et tout ce qui va avec. Personnellement ce changement ne m'a pas déplu car pour ce qui est de la montagne, on a eu sans problème notre dose d'adrénaline. Mais bon, c'est vrai que c'est justement ce changement du dernier tier qui fait de Poursuite Mortelle un thriller au final et non un survival. Je me refuse de crier au scandale car c'est dans cette partie finale que l'on assiste à un entretien bien tendu/glauque entre l'un des ravisseur interprété par Sean Harris (mon Dieu ce faciès !) et Darko, employé par le père de la jeune fille enlevée, interprété par un excellent Karel Roden que l'on a pu aussi voir dans plusieurs métrages réussis dont le très bon film espagnol Abandonnée ou encore dans Esther.

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Elle ne m'a pas mis que le feu celle-là !

Alors si comme moi vous n'êtes pas insensible à la jolie Melissa George qui n'était pas à la base l'actrice devant interpréter le rôle principal, c'est à dire celui d'Alison, mais qui a remplacée Franka Potente car au final cela ne s'est pas concrétisé avec l'actrice allemande, je ne peux que vous recommander ce Poursuite Mortelle qui même s'il n'est pas le film du siècle n'en est pas moins un film fort sympathique devant lequel vous allez certainement passer un agréable moment. Du moins je l'espère car pour ma part ce fut le cas. Tourné avec des caméras numériques Red One, n'hésitez pas à privilégier le blu-ray !

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13 février 2012

Il est de retour... priez pour elles !

Fantom Kiler 2 logo

Alors comme ça on aime les courses poursuites à la Mad Max ou encore Bullit et on se la joue alors que dès que l'on parle de LA course poursuite de Fantom Kiler 2 il n'y a plus personne ? Tss... tss... Quel manque de culture cinématographique tout de même... Oui je sais, il est vraiment temps que j'aille me faire soigner.

Fantom Kiler 2 lobby card 1 Fantom Kiler 2 lobby card 2 Fantom Kiler 2 lobby card 3

Fantom Kiler 2 lobby card 4 Fantom Kiler 2 lobby card 5

Pour aller directement sur l'article c'est ici.

11 février 2012

The time has come to liquidate our guests

The Black Hole affiche

Réalisation : Gary Nelson
Pays : États-Unis
Année : 1979
Durée : 92 minutes
Imdb : tt0078869

C'est la fin du XXième siècle. Au coeur d'une lointaine galaxie, à bord du vaisseau d'exploration USS Palomino qui retourne vers la Terre, le robot Vincent détecte la présence d'un puissant "trou noir", le phénomène le plus mystérieux et le plus terrifiant de l'univers, capable d'engloutir à tout jamais planètes et étoiles, et d'emprisonner la lumière pour la nuit des temps. A bord du gouffre, une gigantesque station spatiale qu'une zone de non gravité protège du trou noir : l'USS Cygnus, disparue en mission vingt ans plus tôt. Tandis que Palomino s'en approche, le vaisseau fantôme s'illumine soudain... (Affiche visualisable en cliquant sur le logo).

USS Cygnus

En octobre 1980 j'avais... neuf ans et demi. C'est à cette période de ma vie que j'ai eu la chance de voir Le Trou Noir au cinéma. On peut dire tout ce que l'on veut mais l'espace au cinéma, et en plus quand t'es gosse, niveau dépaysement c'est la totale ! Dire que ce film estampillé Disney m'a marqué, ça manque un peu de punch par rapport à ce que j'avais ressenti lorsque je l'ai vu. Mon deuxième space opera après la claque intergalactique qu'a été L'Empire Contre-Attaque ! "Dis-donc pépé, tu deviens sénile et La Guerre des Étoiles t'en fais quoi ?". Merci pour l'info les gars, que ferai-je sans vous ? Sérieusement, je parlais de mon parcours personnel, L'Empire Contre-Attaque ayant été mon premier film vu au cinéma, La Guerre des Étoiles j'étais trop jeune et je l'ai vu plus tard avec le boom de la VHS et des vidéo-clubs.

Ca bosse sur le CygnusNe l'ayant pas revu depuis, je me suis fait plaisir hier soir. Je possède le laserdisc sortit en 1997 et acheté dès sa parution mais il est tout neuf, je ne l'ai toujours pas regardé. Comme quoi, il faut vraiment se donner du temps sinon on stock et on ne regarde rien. Enfin bref c'est réparé et juste à titre de critique, laserdisc ou dvd même combat pas de bonus ! Franchement pas sympa de la part de Disney, j'espère qu'un jour une édition digne de ce nom pointera le bout de son nez. Peut-être un espoir de profiter du remake dont il est question ces derniers temps ? Allez savoir... C'est déjà étonnant d'entendre parler d'un remake comme cela a été le cas avec Tron sachant que Le Trou Noir a été un échec commercial.

L'USS Palomino luttant contre l'attraction du trou noirDonc une petite pression sur la touche Play et plongeons dans mon enfance ! Et quel plongeons ! Dès le générique je me suis retrouvé "dedans". Impossible de ne pas être happé par le trou noir par la musique de John Barry et d'être sous le charme au niveau des effet spéciaux par le plus long créé par ordinateur (à l'époque hein !). Je parle bien évidemment de cette grille verte que l'on peut aussi voir sur la bande annonce. Il ne faut pas croire que Le Trou Noir soit un film fauché loin de là ! Disney avait fait tout ce qu'il faut avec les moyens de l'époque et a déboursé pas moins de 20 000 000 de dollars !

Le_Trou_Noir_3

Anthony Perkins, Yvette Mimieux et Ernest Borgnine

Impossible de leur en vouloir à ce niveau. D'ailleurs ces mêmes studios ont voulu louer le système Dykstraflex inventé par John Dykstra en 1976 et qui avait été utilisé pour le film Star Wars. Malheureusement le coût d'une telle location s'est avérée trop élevé. Mais cette mauvaise nouvelle aura permis aux studios Disney de se creuser le ciboulot et de créer leur propre système ! Le "matte scan", une caméra dirigée par ordinateur pouvant effectuer des travellings ou des zooms sur des peintures sur verre (avec surimpression d'acteurs, de maquettes...). Au final le métrage comprend pas moins de 150 tableaux en matte paintings !

Le Dr. Hans Reinhardt (Maximilian Schell) sait recevoirPour en revenir à ma petite personne, ce qui m'a plu immédiatement c'est l'histoire. Et bien qu'âgé seulement de neuf ans et demi, je n'ai certainement pas cherché à comparer Le Trou Noir avec L'Empire Contre-Attaque. Le film d'Irvin Kershner est bien évidemment culte à plus d'un titre mais celui de Gary Nelson est dans une autre catégorie. Fascinant... oui c'est le terme exact. J'étais fasciné justement par ce que représente le titre du film et comme le Dr. Alex Durant (Anthony Perkins) j'étais fasciné par les recherches du Dr. Hans Reinhardt (Maximilian Schell) et surtout par ce qu'il projetait de faire !

Mais que cache ce masque ?Puis bien sûr impossible de ne pas oublier l'autre vedette du film, l'USS Cygnus ! Au passage, le nom du vaisseau est un hommage au premier trou noir découvert dans la constellation du Cygne. Il avait de la gueule ce bon vieux USS Cygnus ! Les plus vieux se souviennent peut-être du petit boîtier plastique faisant penser à des jumelles et qui permettait de visualiser des images en reliefs grâce à des disques rond dont le pourtour était constitué de diapositives. Le 3D View-Master ça ne vous dit rien ? Quel dommage... je peux vous assurer que via cet appareil, la photo du Cygnus illuminé dans l'espace c'était quelque chose ! Constatez par vous même (sans l'effet 3D) avec la première image de l'article. Connerie de vieillesse tiens...

Le_trou_Noir_6

Courir semble la meilleure technique

Sincèrement le fait que Le Trou Noir ne soit pas truffé de combats dans l'espace ne m'a jamais dérangé même lorsque j'avais presque 10 ans ! Rien à cirer, trop fasciné par le pitch de départ et la rencontre avec un vaisseau fantôme (bien avant le très bon Event Horizon) mais aussi et surtout par la fixation du Dr. Hans Reinhardt : aller de l'autre côté du trou noir ! Malheureusement pour lui (Reinhardt) et ses "visiteurs", leur rencontre va absolument tout chambouler ! Le Capitaine Dan Holland (Robert Forster) et les autres de l'USS Palomino vont découvrir ce que cache le non retour sur terre de l'USS Cygnus.

Un enterrement chez des robots ? Hum...Et ce casting, vous avez vu quand même cette grande classe ? Ernest Borgnine (L'Aventure du Poséidon, New-York 1997...), Robert Forster (Vigilante, Jackie Brown...), Yvette Mimieux (La Machine à Explorer le Temps et ses inoubliables Morlocks), Maximilian Schell (Croix de Fer, Deep Impact, Vampires...). Et bien évidemment Anthony Perkins ! Pardon ? Sûrement une star de la firme au Toucan ? Bon là, je suis en train de vous perdre va falloir que j'abrège un maximum. On dira pour le bonhomme qu'ici il ne se prend pas pour sa mère et qu'il est du coup moins dangereux. Chaque personnage est différent et cela donne un film fort agréable à suivre.

V.I.N.CENT. et B.O.B.Le plus gros défaut du métrage s'est transformé pour moi en qualité. Je veux dire par là qu'étant un produit Disney celui-ci se destine en priorité aux enfants (c'est grâce à ça que j'ai pu le voir au cinéma). Mais justement de par son sujet, sur quel pied danser ? Ce qui a malheureusement (je suppose hein) nui au film c'est peut-être ce que lui reproche la majorité : pas assez enfantin pour les enfants et pas assez mature pour les adultes. Peut-être un certain "bridage" sur certains points d'où un drôle de mariage entre des scènes franchement sombres et d'autres plutôt guillerettes. La plupart des séquences où apparaît le robot V.I.N.CENT. avec ses proverbes/citations donnent vraiment l'impression d'essayer de dédramatiser un maximum une intrigue adulte.

Le Trou Noir 9

Fin non retenue mais son ouverture est quand même présente au final

Ce côté "cul entre deux chaises" se ressent aussi avec la fin du film où grâce au dernier numéro de Mad Movies on apprend que celle qui apparaît sur le métrage n'est pas l'unique. Plusieurs idées n'ont jamais dépassées le stade du storyboard (il a même été envisagé de ne pas traverser le trou noir !), mais une autre fin a été tournée, fin basée sur un concept plus spirituel et religieux. Propos de Peter Ellenshaw directeur artistique et responsable des SFX : "Je suis allé à Rome avec une équipe et nous avons filmé la chappelle Sixtine. Nous voulions montrer Yvette Mimieux dans une sorte de transe, en train de s'imaginer de retour dans la chappelle , regardant la création de l'homme par Michel-Ange. C'est ainsi que nous l'avons filmée, et nous avons été capable d'inclure Yvette. Elle n'est pas venue avec nous, mais elle était présente dans l'image. On aurait vu les doigts de Dieu touchant ceux de l'homme, transformant ce dernier en créature vivante."

Welcome to Hell with Maximillian !Mais le réalisateur n'était pas satisfait de cette conclusion pensant que cela ferait passer le film pour un autre 2001, l'Odyssée de l'Espace et du coup risquait de faire perdre le soutient du public. De toute façon c'est peine perdue car en l'état de par son sujet et même de par sa fin actuelle (et cette vision de l'enfer) qui reprend aussi quelques plans d'ouverture de celle non retenue (voir l'image au-dessus du paragraphe précédent), le film ne semble avoir satisfait personne. A part moi ? Bien sûr que non, je reste persuadé que d'autres n'ont pas oubliés Le Trou Noir et l'ont vu justement parce que celui-ci était du Disney et qu'ils ont été emmenés dans les salles obscures par leurs parents. Je sais que le film est truffé d'impossibilités (et Star Wars avec tous ses sons dans l'espace ?) mais peut-être suis-je resté coincé entre deux âges. Qualité ou défaut ? En tout cas pour certaines choses, je penche pour le premier. Alors le Dr. Kate McCrae (Yvette Mimieux) va-t-elle retrouver son père membre d'équipage de l'USS Cygnus ? Le Dr. Hans Reinhardt va-t-il réussir l'impossible ? Et Maximillian le robot imposant/dissuasif de Reinhardt va-t-il avoir des petits avec V.I.N.CENT. ou B.O.B. ? Trop de questions qui trouveront certainement des réponses à la vision de The Black Hole !

10 février 2012

Agent 4321 à la recherche de son format

Maniac Cop affiche

Petit retour sur le film de William Lustig. Dernièrement celui-ci est paru chez deux éditeurs US et UK : Synapse Films et Arrow Video. La chance pour les américains et les anglais c'est que tout d'abord c'est en format blu-ray mais aussi et surtout dans le format voulu par le réalisateur, c'est à dire en 1.85:1 ! Chez nous, Maniac Cop est paru en dvd zone 2 et dans le format 1.33:1, c'est à dire 4/3.

Maniac Cop lobby cardManiac Cop est un métrage en 1.85 open matte (oui, comme Piranha 2). Donc toute la pellicule est imprimée et c'est après que des caches sont placés par le réalisateur. Le dvd zone 2 nous propose donc une image sans les caches, ce qui nous donne plus d'informations en haut et en bas de l'écran. Malheureusement, avec les captures que je vais vous présenter du blu-ray Synapse Films, on peut constater que ce même dvd zone 2 rogne des informations sur la gauche/la droite ou les deux selons les plans. Le choix des captures n'est pas innocent ! J'ai essayé d'obtenir les mêmes screenshots que ceux de l'article déjà présent sur le blog. Alors maintenant il ne vous reste plus qu'à comparer en vous rendant ici. Pour terminer, j'ai pu lire dans une interview que William Lustig a mis la main à la poche pour une restauration HD de ce film et que ça lui avait coûté bonbon ! Anchor Bay avait proposé de lui racheter ce travail pour leur parution mais en mettant sur la table seulement la moitié de la somme qu'a dû sortir Lustig pour la restauration. Lustig a du coup refusé et Anchor Bay a sorti une version de leur cru. Lustig a donc en sa possession une restauration incroyable de Maniac Cop. La question est de savoir ce qu'il compte en faire, c'est à dire une éventuelle future parution sur son label Blue Underground ? En attendant, un lien sympathique vous attend à la fin de l'article consacré au film...

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P.S : L'éditeur du dvd zone 2 de Maniac Cop I & II est Edito. Oui, le même qui nous a affublé de plusieurs dvd tous irrespectueux (qualité du pressage et format) du film Assault on Precinct 13 de John Carpenter.

9 février 2012

A White-Hot Night of Hate !

Assault affiche

Allez hop, nous sommes le 9 février et... demain c'est la sortie en blu-ray du film culte de John Carpenter -déjà chroniqué sur le blog- dans un master impeccable (le même que celui déjà paru aux États-Unis) non censuré et enfin au format respecté ! A la poubelle les dvd désastreux parus chez Edito ! Plus d'infos sur le blu-ray c'est ici. Pour fêter ça et aussi faire passer le temps jusqu'à ce que je le reçoive, place aux lobby cards australiennes.

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Pour aller directement sur l'article c'est ici.

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8 février 2012

Il les aime nues... et mortes !

Fantom Kiler dvd

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Pour aller directement sur l'article c'est ici.

7 février 2012

Ma drôle de dame

Logan's run logo

Logan's Run promo 1Logan's Run promo 2Oui je sais, là on peut réellement parler de plaisir personnel et rien d'autre. Mais... comment puis-je résister ? Non impossible, je ne résiste pas à créer ce billet supplémentaire (article sur le film Logan's Run très prochainement, normalement la semaine prochaine) pour vous montrer deux posters promotionnels de la Metro Goldwyn Mayer mettant en avant le personnage de Holly 13 interprétée par la sublime Farrah Fawcett. Après Saturn 3, vous en reprendrez bien un peu ? Juste un peu ? On ne fait pas le timide et on clique pour agrandir.

6 février 2012

Something is alive in the Funhouse !

The Funhouse affiche

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Pour aller directement sur l'article c'est ici.

5 février 2012

The Night He Came Home !

Halloween logo

Bon en même temps, The Day He Came Home ça le fait moins niveau chocottes, ça fait plus facteur ou releveur de compteur EDF. Enfin bref, tout ça pour dire que le 2 février c'était mon anniversaire. Je sais pertinemment qu'on s'en fout mais c'est juste que pour cet évènement qui est de plus en plus pénible (le chiffre y étant certainement pour quelque chose...), un ami m'a offert deux blu-ray. Et sur les deux, le joli blu-ray du Halloween de John Carpenter. Il ne se sentira pas seul avec mon édition laserdisc Criterion et la limited edition dvd Anchor Bay. Après ça, difficile de ne pas prévoir un futur article...

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Pour ce qui est de ce que l'on appelle "goodies", j'ai scanné la jolie carte postale très sympathique présente dans la limited edition dvd Anchor Bay afin d'en faire profiter :

On l'a refait John, elle a pété j'en peux plus là

4 février 2012

Sur le plateau d'Enemy Mine

Sur You Tube, on tombe parfois sur des perles. Là c'est le cas avec un reportage (ici scindé en deux parties) passé en 1986 dans la défunte émission Temps X sur TF1 consacré à une visite dans les studios Bavaria à Munich sur le tournage de Enemy Mine du réalisateur Wolfgang Petersen. J'ai déjà parlé du film sur le blog en expliquant tout le bien que j'en pensais et c'est consultable directement ici. Bienvenue en Allemagne :

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